Bienvenue dans la verroterie de Lilas Orange!

Bijoux et colliers à base de perles artisanales.

Lydie Fallecker, originaire du Nord de la France,une région où la perle a droit de cité, a créé son entreprise dédiée au bijou fantaisie de qualité.

Des années passées en Chine ou en Jordanie, entre autres, elle puise justement son inspiration d’où sortent des perles aux couleurs chatoyantes, pièces uniques qui seront ensuite assemblées en collier sur du câble, du cuir ou sur une chaîne, les plus grosses étant présentées en pendentif.


« Tige de verre de Murano ou de verres américains d’une main, mandrin enduit de kaolin de l’autre, il faut de 20 minutes à une heure, selon la grosseur désirée, pour fabriquer, à main levée, une  » perle pleine  » en chauffant le verre au moyen d’un chalumeau alimenté par un mélange d’oxygène et de propane. Le geste doit être précis et minutieux mais il laisse place à l’inspiration qui permet d’effectuer des inclusions d’argent, d’or ou d’autres matières. La perle sera ensuite plongée dans une sorte de sable avant   d’être cuite dans un four devenant ainsi incassable » atteste Lydie en effectuant une démonstration.

 

En république Tchèque et en Allemagne  du sud, de petits artisans ont fabriqué pendant plusieurs siècles des perles à la lampe, mises en forme dans des moules, une tradition également présente à Venise et Murano. Mais actuellement ces perles sont l’œuvre d’artisans, qui les façonnent à la main avec un savoir-faire accompli. La « lampe » désigne la source de chaleur qui permet de fondre la baguette de verre et de l,’enrouler autour d’une mince tige de cuire; la perle ainsi formée est ensuite décorée. Le verrier teint d’une main la tige qu’il fait constamment tourner, et la baguette de verre dans l’autre; lorsque celle-ci atteint un rouge-orange brillant, la quantité strictement nécessaire de pâte en fusion est déposée et enroulée autour de la tige.

 

Les verriers sont assis face à la source de chaleur, des flammes de gaz  à haute température.